La Terre, notre planète, se meurt. L’être humain, qui la domine, a inventé la philosophie, l’art, la science ainsi qu’une multitude de connaissances et de savoir-faire mais en parallèle il a également développé le consumérisme, la destruction des terres et des mers, l’exploitation des autres espèces, en même temps que de la sienne. En s’inspirant du texte de Jean Giono « L’homme qui plantait des arbres », Wood nous questionne, à travers le dialogue entre une danseuse et une marionnette, sur la relation de l’être humain à la nature et sur l’impact (positif ou négatif) qu’il a sur son environnement.
COMPAGNIE
Artiste chorégraphique, Émilie Lalande s’est formée à la danse au CNR de Paris puis à l’École Supérieure de Danse de Cannes. En tant qu’interprète, elle intègre le Ballet d’Europe et collabore avec différents chorégraphes comme Jean-Charles Gil, Jeroen Verbruggen, Angelin Preljocaj… Émilie entre au Ballet Preljocaj en 2008, y interprète les rôles majeurs du répertoire d’Angelin Preljocaj et participe à une dizaine de créations. En parallèle, Émilie crée ses propres pièces et monte sa compagnie en 2015.
Interprète : Caroline Jaubert
Assistant chorégraphique : Jean-Charles Jousni
Décor : Atelier Vierano
Création lumière : Jean-Bastien Nehr
Musiques additionnelles : Émilie Lalande, Matthieu Maurice, Édouard Heneman
Costumes : N°19 création
Régie générale : Édouard Heneman
Régie plateau : Tifenn Delville
Confection des marionnettes et miniatures : Claudio Ceresatto
Photo : © Jean-Claude Carbonne
Coproduction et résidences : Ballet Preljocaj / Pavillon Noir, CCN d’Aix-en-Provence - Le CONTAINER Angresse